De préférence alors que la lumière du jour commence à faiblir…
S’entourer des arbres, des bruissements, du vent, des êtres non-humains alentours qui chantent, observent, se cachent, et essayer d’évacuer le plus possible les ondes négatives & la colère générées par tant de choses, intimes ou plus vastes.
Se fatiguer, laisser le corps parler et reprendre la main sur l’esprit torturé qui renâcle à lâcher prise, observer, crapahuter, (re)découvrir des chemins, des angles de vue, des détails.
1 mirovinben ·
Excellente idée.
Je confirme les ondes positives émises par une rencontre avec la forêt et les bienfaits apportés par les feuillus qui la peuplent.
J’ai l’impression que les conifères sont moins efficaces. Tu confirmes ?
2 Tomek ·
Tout à fait : d’abord le vent dans les aiguilles à quelque chose de bien plus inquiétant, et les zones de conifères n’ont pas l’aspect réconfortant des forêts de feuillus.