je n'avais rien envie de dire, pas le temps de dire, ou pas le choix (rayez la mention inutile).
J'écris ça mais bien sûr, on a toujours le choix de consacrer quelques minutes à déblatérer sur tel ou tel travers du mon-stre-de, à ne pas s'enthousiasmer pour un ballon et ses cogneurs associés (contrairement à beaucoup de monde on dirait)...
Des cartons à faire puis à défaire (tout le monde sait ce que représente un déménagement), un changement de repères, pas le temps non plus pour jouer, écouter de la musique non calibrée/formatée, pour se détendre, stress assuré, et la décompression tarde à venir.
Encore beaucoup d'imprécisions quant à l'avenir - mais qui, à part peut-être les sûrs-d'eux-et-de-leur-chemin et les fous, n'a pas de doute, de peurs ? - et des illusions qui tombent les unes après les autres, l'impression de finalement avoir du mal à faire face au passage adulte, à des responsabilités, faire face à la vie tout simplement. Des questions qui reviennent comme toujours. Le doute est bon pour faire avancer, pour ne pas rester dans les traces qu'on suit ou qu'on s'impose, mais il peut aussi pétrifier. Contraste et paradoxe chers à mon ami Luc (lecture plus que conseillée de son blog, soit dit en passant).
D'autres choses à dire, mais je reviens vite, promis.
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