Dois-je encore m’excuser de n’avoir pas le temps d’avancer sur diverses choses, dont le nouveau thème du blog ?
Parfois, la fatigue aidant, un grand découragement pointe le bout de son nez - mais j’essaie de le repousser - parfois allié à un trop-plein (je ne parle pas de burn-out, on n’en est pas là), avec des choses à faire tous azimuts, jour, soir, week-end, tout le temps. Je fais des listes, j’essaie de m’organiser pour avancer les différents dossiers (pro ou non), là un site pour des amis, ici le graphisme et le mastering d’un disque à sortir, et puis des morceaux à composer / enregistrer, des répétitions, des concerts. Etc.
Et puis voir la déliquescence croissante du réseau parallèle des concerts, et hésiter entre la résignation, la colère, l’aigreur ou l’obstination pour avancer, encore, malgré tout.
1 mirovinben ·
A te lire, billets après billets, il semblerait qu’une pause s’impose en effet.
Seulement voilà, il faut choisir, sélectionner ce qu’il faut abandonner (provisoirement ?) ce à quoi il faut renoncer. Selon quels critères, selon quelles envies profondes ? Du coup, ajouter du temps de réflexion à un agenda fort encombré.
Mon commentaire est très représentatif de l’art d’enfoncer des portes ouvertes. Désolé.
2 Tomek ·
Le coup de bourre est passé… l’encombrement dans la tête est toujours là, avec toujours mille et une choses à faire. Mais on s’y fait. En fait.