Jusqu’à présent, je me suis toujours occupé du mastering des disques que j’ai réalisés et ceux sur lesquels j’ai joués.
Pour le nouvel album de Mona Kazu, on a voulu à la fois prendre du recul, et ne pas tout faire, comme c’était le cas auparavant. Alors certes, c’est un budget, mais c’est aussi un souci et du temps[1] en moins. Nous avons donc fait faire le mastering par quelqu’un dont c’est vraiment le métier.
Nous avons eu la joie d’assister à la séance de mastering, et même si nous n’avons pas eu le temps de faire tous les morceaux avec Mathieu ce jour-là, on a pu donner la direction globale (sonner proche de tel ou tel album qu’on apprécie), qu’il a habilement traduit grâce à ses splendides machines[2] et à une paire d’oreilles aiguisées.
Au final, le résultat dépasse nos espérances, et on est d’autant plus fier et déterminé à défendre cet album !
D’autres Bonheurs du jour. Sur une (brillante) idée de Kozlika.