Ainsi donc, le plus grand acte de résistance à l’agression terroriste serait de prendre un verre en terrasse, d’aller voir des concerts ?
Je suis ces jours-ci dans une attitude d’attirance / répulsion :
- attirance vers de nombreux articles éclairant sous divers angles ce qui s’est passé ce 13 novembre, pourquoi, comment, les conséquences, les suites données…
- répulsion pour tenter de me préserver face à tant de signaux négatifs et de lectures qui bien que très enrichissantes, sont fortement anxiogènes.
Sinon, Woodstock ? Une période que je n’ai pas vécu où - du moins je crois - on avait encore des idéaux, des envies de paix, une période où la conscience politique de chacun n’était pas encore complètement anéantie par la peur, l’individualisme forcené et la surconsommation, vilain palliatif d’une absence totale de repère, de direction voire d’utopie.
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1 Sacrip'Anne ·
Je suis comme toi, il ne faut pas enlever aux symboles leur force, mais j’ai besoin de plus, et ça me fait aussi peur.
(C’est un peu pour ça que je mets encore plus d’énergie que prévu dans un micro projet mais dont je pense qu’il sera plus utile à éviter de l’exclusion et des “outlaws” qui virent dangereux, que le grand festival auquel on a droit en ce moment). On a la résistance qu’on peut, hein ?
2 Tomek ·
Oui, j’ai vu passer ça. Belle initiative !
J’aimerais avoir l’énergie pour me consacrer à des projets de ce genre… je fais ce que je peux avec les moyens que j’ai pour soutenir des projets, aussi. Mais j’ai du mal à faire vraiment autre chose.
3 Sacrip'Anne ·
Vu l’année dont je sors, je comprends
Et puis il y a, ou pas, les opportunités qui se présentent, ce qu’on a à donner qui convient plus ou moins, etc…