Ils m’ont fait rire longtemps, puis plus trop, puis plus du tout. Mais ils étaient indispensables à l’idée qu’on se fait de la liberté d’expression. Leur seule arme était les mots, les dessins.
Ne surtout pas laisser le champ libre aux nauséabonds qui vomissent leur haine et font vomir de dégoût. Occuper le terrain, au sens propre, et aussi par les mots, les mots ont un sens. Ne pas laisser la peur, la haine, la surveillance (qui n’empêche rien) gagner.