Un parfum d'aigreur

J'aurais pu parler de bien des choses agréables aujourd'hui avec le mot du jour, mais une chose est venue gâcher le ptit dèj de bon matin pas réveillé.

En effet, la dernière chronique[1] de l'album de Mona Kazu n'a rien de nicette[2], loin s'en faut. En dehors d'arguments critiques qui peuvent être tout à fait recevables, on a l'impression que le chroniqueur a voulu se venger de quelque chose, se défouler, en employant des termes sans équivoque, parfois méprisants, nous transformant en modestes tâcherons qui ont fait de leur mieux avec ce qu'ils avaient... Toutes les particularités sont mises en défaut de façon caricaturale, on se fait traiter d'amateurs - pour la pochette mais j'ai l'impression que pas que pour ça - bref, on s'en prend plein la gueule.

Je ne comprends pas l'intérêt d'une telle chronique qui aurait pu être constructive si elle n'avait pas révélé les sentiments aigres du chroniqueur.

L'attitude normale (et saine surtout) serait de s'en foutre, mais pour l'instant, je n'y arrive pas.


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Notes

[1] J'ai même pas envie de mettre de lien, tiens.

[2] Gracieuse

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