D'aucuns trouveront que je suis assez facilement irritable, et auront sans doute raison. Malgré tout, j'ai une tolérance que je qualifierais de normale aux bruits divers et variés. Surtout que je ne suis pas le dernier. Mais je ne fais pas de bruit : je fais de la musique. Je ne le recorderai[1] jamais assez.
Le bruit donc ; un bruit qui agace qu'on soit à l'extérieur ou à l'intérieur, qui peut durer des heures, qui oblige à se plonger la tête entre des enceintes. Je ronge mon frein d'aller signifier l'usance[2] au voisin indélicat qui, alors qu'il s’affaire autour de sa grosse bétonneuse (qui elle non plus n'est pas silencieuse) n'entend pas - ou feint de ne pas entendre - son chien attaché qui aboie, d'entrain visiblement, souhaitant sans doute participer aux travaux d'un peu plus près. Aboiement qui résonne dans tout le quartier.
Alors monte en moi une certaine envie canicide. Il n'y est pourtant pour rien.
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1 mirovinben ·
Ah, l'aboiement des chiens, petits roquets teigneux ou gros molosses au woawoa guttural, résonnant dans tout le quartier à des point d'heure... Je connais aussi. Avec des envies de... Et pourtant ils n'y sont pour rien en effet.
Quant aux voisins hyper actifs qui ont des occupations fortement motorisées, j'ai ça aussi. Le pire selon moi étant le débroussailleur à fil et la soufflante pour chasser les feuilles mortes. Mais bon, ce sont des bruits "utiles". Pas comme ces voisins zozo qui testent le samedi après-midi les boomers de leur bagnole à en faire vibrer mes vitres.
2 Franck ·
Disons que le souci n'est pas le bruit des travaux, s'ils se déroulent dans les horaires normaux et légaux... ce qui n'est pas toujours le cas. Quant au chien, le bulletin municipal est également très clair sur les nuisances et les plaintes possibles. Wait and
hearsee.