Ce soir, j'ai senti quelque chose de différent, une nouvelle énergie - bien que tous plutôt fatigués - une cohésion dans le son, dans l'envie, et du plaisir, ce qu'il peut arriver de perdre de vue selon les conditions. Comme si les choses se mettaient en place naturellement, sans forcer, comme si nous commencions à avoir la cohésion qu'un groupe doit avoir pour aller au delà de la somme des personnalités.
Pourvu qu'on ait cet enthousiasme pour le concert... on aura l'envie en tout cas, c'est certain.
Alors pourquoi aujourd'hui devrais-je parler d'écornifler ? Le concept du profiteur, de celui qui s'invite à la table d'autrui, qui joue le sans gêne n'a rien à voir avec ma conception des relations humaines. Rien à voir avec le partage, un des fondements de la musique.
Le calendrier des obsolètes (et les définitions des mots).
1 mirovinben ·
Cette chose différente, cette nouvelle énergie ne proviendrait-elle pas d'une sorte de lâcher-prise obtenu grâce à une certaine fatigue en même temps qu'une meilleur "connaissance" des morceaux ?
J'ai un profond mépris et une grande colère vis à vis des écornifleurs.
2 Franck ·
Ton analyse est tout à fait juste, mais la sensation est assez étrange (et jouissive) vu que c'est la 1e fois que ça arrive avec cette formation-là.