Sans vouloir jouer le glossographe, avouez que depuis début février et le commencement de ce jeu des 366 obsolètes, vous avez quand même appris - ou du moins découvert - une foultitude[1] de mots tombés en désuétude grâce à moi nous[2]. Non ?
Mais ça n'est rien face à un événement climatique exceptionnel qui fige pour un temps la machine à consommer, les transports, le manque à gagner, ah mais bon sang prenez le temps de vivre au lieu de ne penser qu'à être rentable !
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Notes
[1] Devrais-je dire une rabeutlée comme par chez nous ?
[2] Me souffle-t-on, oui, en effet, nous sommes nombreux à éclairer vos nos lanternes, bref à nous amuser avec ces mots.
1 mirovinben ·
"Grâce à toi ?" Hein ? Gné ? #ouaoulemek ! Et les zautres comptent pour du beurre ? :-)
2 Franck ·
Aïe ! Je ne voulais pas froisser un de mes rares abonnés à passer tous les jours... Ma formule est maladroite, car n'incluant effectivement pas tous les participants qui apportent leur interprétation du mot quotidien. C'est corrigé ! ;)
3 mirovinben ·
Tu ne m'as pas froissé. J'espère également que je ne t'ai pas froissé. Bref Il est primordial que nous gardions tous les deux la peau lisse. 8-)
4 Sacrip'Anne ·
Moi, surtout, ce que ça m'a apporté de chouette, c'est de te lire souvent !
5 Franck ·
@mirovinben : Belle conclusion !
@sacripanne : Merci ! :)
Ça fait une bonne occasion d'alimenter ce blog (qui a d'ailleurs des billets hors de ce thème à venir)