Vendredi soir, après avoir fini mon taff technique peu avant 23h, j'assiste au fantastique concert de Chokebore, groupe que je n'avais pas vu live depuis plus de 9 ans (c'était là)... de quoi recharger les batteries à bloc d'énergie et d'envie de donner en musique.
Ça tombe bien, le lendemain, concert de Tomek à Cluny qui se passe plutôt bien, bon accueil du public, bien que dans un bar (très accueillant, au passage), et quelques très chouettes versions de morceaux. Ok, 2-3 plantages aussi, mais on avait pas eu beaucoup de temps entre le calage de la date et le concert lui-même. Ça motive pour en faire plus, continuer de bosser les morceaux, préparer un enregistrement.
Dimanche repos mérité.
Lundi, la journée commence avec des cauchemars de guerre, d'explosions et de perte sous mes yeux d'êtres chers (réels ou fantasmés). Pas glop. Et ce qui doit arriver arrive : pas moyen de m'en dépêtrer complètement durant la journée. De même, j'ai dû serrer les dents toute la nuit, vague douleur et une envie que je dois réfréner de toujours les serrer. Mais pourquoi ?