La société ça craint › Média tics

Rendez-moi la radio que j'aimais

Outre la médiatite aiguë évoquée précédemment qui me fait me détourner de nombreux journaux et émissions de débat sur ma radio auparavant préférée, je ne suis pas le seul à constater depuis plusieurs saisons, la déliquescence des programmes. La fin de ceux - qui étaient souvent en direct - diffusés  […]

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Larme

Médusé "Le manipulé"

À chaque fois que je regarde une émission de télévision grand public (sur le web), je comprends pourquoi je n’ai plus de poste chez moi (ou presque, comprenne qui peut).

Après avoir regardé l’édifiant documentaire sur la troïka sur Arte+7, et voyant passer des tweets sur une autre qui était en cours, je me connecte donc sur le site de France2 pour suivre en direct les 3/4 restants de “Cash Investigation” qui parle ce soir-là des entreprises gérées (ou liquidées) par des fonds spéculatifs et leur impact sur l’emploi et les conditions de travail. On note au passage le titre évocateur : “Quand les actionnaires s’en prennent à nos emplois”.

J’avais déjà entendu parler de cette émission et de son concept - qui se comprend d’ailleurs quasiment à la lecture de son titre - plutôt en bien, voyons donc ce qu’il en est.

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La presse musicale n'a aucune honte

Le pont...

Même si je précise musicale, le reste de la presse n'est pour moi pas plus inspirée. Je ne vais pas revenir sur de nombreux titres nauséabonds à faire bondir, de nombreux articles puants - et je ne parle pas des commentaires - quand ce ne sont pas certains écrits avec les pieds (qui puent, cela va de soi).

Bon. Revenons à nos moutons. Ça faisait longtemps que je n'avais eu entre les mains un exemplaire du magazine "Les Inrocks" qui fut un temps - lointain - était une la référence en matière de presse musicale (indie & vaguement intello, quand même), avec une maquette sobre et en noir & blanc, une périodicité mensuelle et des articles fouillés et non racoleurs. Depuis son passage à un hebdo traitant d'à peu près tout, d'aucuns avancent qu'on y a perdu au change. Je peux difficilement leur donner tort.

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