Pourrait-on dire que les débats qui se jouent actuellement dans l'hémicycle manque de vénusté[1] ? Que les merveilleux amendeurs de loi ne sont que de vils pisse-vinaigre dont les mots, dénués de toute élégance, nous ramènent au plus près des bactéries du fond de la cuvette ? Aucun doute là-dessus. […]